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J'veux que les mouches mutantes m'attaquent à cause de toi dans le c½ur, dans le ventre. Fort.
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Je m'en fou, j'abandonne, ferme là. Qu'est-ce que sa peut te foutre après tout? Des mots et des mots déversé ou vomis racontant toujours la même chose et perdu dans une routine qui n'a plus aucun sens. Caboche vide bourré de lui, un peu de vous, trop de bordel que sa vomis de par derrière. Continuer de marcher, sans aller mal, sans aller bien, continue de hurler, sa ira mieux demain. Parce que tu te perdras dans les rails en hurlant que sa va, en riant tout ton sang. Et si j'y croyais plus, tu serais toujours aussi beau? Tu c½ur dans le mien engloutiras tout ce qu'il peut après avoir déversé son liquide hypocrite rempli de mensonges qui bouffe et qui bouffe l'intérieur de nos yeux en arrachant des petits bouts de nous de partout. Impossible d'effacer, je te veux gravé dans ma gorge que sa brûle, que sa crame de l'intérieur. Tu sais pas, tu sais rien, mais tu crois et tu penses sans savoir que tout sa mène a rien. C'est toujours comme sa, tu sais que y a rien au bout mais t'y cours et une fois au bout, tu te jettes dans le vide et t'explose la gueule contre les murs en espérant que sa cesse. T'y crois toujours même si tu sais que sa sers plus a rien. Sa coule encore et j'sais pas comment arrêter l'explosion, comment combler le trou, j'y avais réussi mais apparemment sa a changé, apparemment c'est plus assez, apparemment c'était pas vrai. Ton c½ur dans le miens, tes cris contre les miens, je te jure que c'est possible. Dis, j'ai encore de l'espace dans toi? J'avais promis de plus me pendre pour un lui ou un elle mais tout doucement, sa a glissé sur ma gorge, tout doucement sa a tourné, tout doucement il m'a pendu. J'aurais aimé être plus près, j'aurais aimé que sa soit vrai. Une baffe dans ta gueule, peut-être sa aurait eu plus d'effet, et tes lèvres, tu crois que sa aurais marché? Tu sais, sa fais toujours aussi mal, sa creuse toujours autant, simplement à force, on se donne l'illusion qu'on s'y habitue. C'est jolie les illusions toutes pleines de couleurs en noir et blanc qui explosent dès que tu les frôles. Ferme-la et regarde comment c'est beau toutes ces couleurs qui t'explosent a la gueule. T'avais promis qu'on irais. Avec le petit doigt. Comme tout le reste sa a marché mais sa s'est jamais fais. Autant rien dire. C'est comme tout ceux qui dégueulent des mots pour rien, juste pour combler ce vide qui habite leur tête, qui habite leurs oreilles, le silence qui hurle, et toi qui tombes. Autant rien dire. Jamais plus. J'veux des bouches cousues, partout, du silence qui coule du rouge a cause des cutter a vif. T'as peut-être pensé que sa s'rait drôle toute cette connerie. Tu sais, j'me sens tellement pittoyable a dépendre de sa, de toi, de elle, de nous, de rien. Tu promet qu'après sa, on ira dormir dans l'ombre d'un jamais? Et et. J'te baise. Aha, il l'a perdu contre une jambe. Et il s'est perdu pour son absence qui cognait contre les murs. Même l'autre n'a rien pu faire. Aha. 'Te restes plus qu'a crever. Ou debats toi avec tes cris qui s'enroulent autours de toi et qui t'étrangle. Tu vois pas que sa sert a rien? Prends ma main et cours, j'te jure qu'on arrivera dans un quelque part à nous, rien qu'à nous. Ou laisse moi espérer que sa arrivera, mais pas trop non plus, parce que a force d'espérer pour rien on fout tout en l'air. C'est bizarre comment une toute petite chose arrive a faire autant de dégâts. Même sa j'ai toujours rien compris. La bouteille de Whisky est déjà vide, j'me rendais pas compte a quel point sa partait vite.Comme l'horloge qui coule dans nos doigts et qui a noyé ta tête dans la poudre de l'asile. Trouve moi des somnifères et je te laisserais partir, enfin. Parce que t'es dans la cage et même la porte ouverte, t'arrives pas a partir. Alors j'frais cramer la cage avec les somnifères. Aha.. Dis, tu t'en fou, hein? De sa, que sa coule, que tu te bousilles, de nous. J'aimerais te dire que moi aussi. J'aimerais te dire que plus rien n'a d'importance, parce que je ne veux plus que sa en ai. Accorder de l'importance a toute c'est chose, c'est un peu comme admettre tout ca, admettre que c'est vrai. Et je veux pas que sa soit vrai, je veux l'autre vrai, celui ou tu es "un", celui de maintenant, celui d'avant. Pas celui du doute. Laisse moi rire.
[ Peut-être je continuerais demain? Peut-être pas. ]
× F U C K I N' × D A Y S ×
J'aimerais pouvoir vivre ce que je rêve, et rêver ce que je vis; Je me perds et je tombe, en essayant de ne pas lâcher prise, sur un fil, tendu, un coups de ce coté, un coup de l'autre, funambule, au dessus de nuages. Je crois que je préfère vivre dans ma tête, m'y enfermer plutôt que de vivre ce qu'il y a ici, vu que plus rien ne m'interesse. Vide en bas, vide dedans, vide partout, aucun interet et Bam; Sa doit se terminer comme sa? Courir sur le fil nous ramène a tomber, mais il faut que je cours pour ne pas etre rattrapée, alors je tombe. Bete de reproduire les memes erreurs? Sur'ment. Je ne distingue plus le vrai du faux, sa ne m'interesse plus, fausse joie, faux sourires, sa vous fais plaisir, mais vous ne savez pas, et vous ne saurez jamais. De toute facon, vous etes sourd. J'ai beau parler, j'ai beau hurler, mais vous n'entendez rien, seulement ce qui vous plait, rien à foutre. Ici et ailleurs. Il ne faut pas lacher prise. Ne t'échappe pas, je te perds, reviens.. Onegai.. Il faut que je te vois pour le croire, mais peut-etre est-il trop tard pour y croire encore, leurs conneries gravée dans ma tete, je m'y perds, sans savoir vraiment ce que je cherche. Voyez ce que vous faites, regardez autour de vous et affrontez cette réalité que vous vous refusez. C'est si simple... Hein? Je n'en peux plus du faux, du vrai, de ce qu'on montre, et ce qu'on cache, de ce qu'on dis, et ce qu'on murmure sans que l'autre le sache. Des promesses en l'air, c'est si facile. Même toi? Non, je ne peux pas croire que tu mentes. Faut-il que j'abandonne? Pourquoi je n'y arrive pas? Ahaha. Crève ma bulle, explose mon monde, détruit Le*.
~ Game Over. ~
Continue de hurler, continue de saigner, continue d'exploser. Je ferais comme si j'avais rien vu. Mais c'est juste parce que c'est ce que tu veux. N'espère pas que je me désintéresse de toi aussi facilement. T'es pas juste une chose qu'on trimballe, qu'on aime, qu'on jette, un truc avec lequel on joue. Pas pour moi. Jamais.
Je t'aime Bordel. Tu veux encore que je t'écrive des romans pour te décrire le pourquoi du comment de ce qui se passe dans ma tête a ton sujet?
ıı
×
"-Regarde je saigne.
-Ah mais fais gaffe, tu vas tacher l'plancher !"
Try again. Failure. Try again. Failure. Try again. Failure. Try again. Failure. Try again. Failure. Try again. Failure. Try again. Failure. Try.. TA GUEULE PUTAIN.
J'suis une pute et j'te baise ><
