FUCKINxDAY

FUCKINxDAY.

Mardi 25 mai 2010 à 18:09

Comme un enfant qui fuit.





Sa fait comme un recommencement. Un truc nouveau, que tu peux créer, un truc que t'inventes. J'aurais du sortir la nuit. Marcher et me perdre dans les rues. Peut-être qu'au coin d'une rue, j'aurais croisé du jamais? Qui sait. Il y a des moments comme sa, on aimerait qu'il durent toujours. Coincé dans un canapé, au milieu d'un coussin, un rêve qui se crée à côté, et un visage endormi, sourire de la mignositude, c'est fou comme c'est mignon, un créateur de rêves. Et c'est fou comme sa fait froid le côté derrière du créateur de rêves. "Hum.. Okay.." Et un retournement. Des fois il faut oser, planter ses griffes devant, et se serrer fort. Il faudrait. Mais c'est pas grave, hein, c'est pas grave. La prochaine fois. J'dois attendre?

Tu te rappelles de la musique qui passait en boucle toute la nuit? Dans la voiture, chez les gens, partout. Un truc ou on cherchait les étoiles par le ciel artificiel. Tu sais? "Oh! A star! - Hum.. Very big star..!". Une musique qui était la partout. Juste parce que c'était ta cam. T'aurais voulu être libre, hein? Libre sur la trottinette, on aurait dis, pouvoir aller partout, sans questions, nul part, partout, toujours. Mais t'es pas libre, sans attachement? Plus ou moins. Ta robe qui te retiens. Les gens, leur griffes, ils te veulent. Aha. Et tes yeux au réveil. J'aimerais bien savoir a quoi tu penses, a quoi tu rêves et ce que tu vois. Et puis.. C'est tout. Des trucs a garder dans la tête. La clef contre un joyau, coeur, le joyau qui s'en va, sa veut dire quoi? Coeur qui ne mérite pas? Ou joyau trop précieux? Mec normal qui s'attache. Trop idéalisé. Hein? Que de la merde toute vos conneries. Juste.. Vouloir être libre.




"I want to be free.. Like you.."

Dimanche 23 mai 2010 à 0:05

Attendre toute la journée. Même pas un au revoir. Trop tard. Et c'est parti pour un an. Sans attachement on disait? Plus ou moins. Plus que moins. Un lit vide. Enfin pas totalement. Maintenant si. Des odeur froide, qui s'effaceront avec le temps. Fumer un clope pour se rappeler le goût de toi. Des trucs imprimés dehors, dedans, comme si c'était toujours la. Comme un rêve qui se termine, une sorte de danse au début, des taxis, le métro, une fois, des paroles, un instant, vrai. L'instant d'après, faux. Un oubli, des gestes, un refus, des excuses. Maintenant, il fait froid, Paris dans la nuit par la fenêtre, un peu comme celui des Aristochats. Le son de ta voix dans la salle d'encens, les voix autour de la tienne, je ne savais pas encore. Rire de leur galipettes, mais tout en respectant, tout sa après. Il me reste un peu de toi, je crois. Au fond de moi, dans la nuit.





"When guys kiss, guys feel more."



• Un peu de dégoût de soi.

Lundi 17 mai 2010 à 21:17

Hier soir deux inconnus et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde, un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour chantent l'amour

C'était bien de jouer les amoureux.







"Qu'est-ce qui est le plus important? La parole ou les actes?"





Comme une chute sans fin.




Wake me up. Now. 'Cause it's crazy nightmare. Comme un parc d'attraction dans la nuit. Une maison qui craque, un escabeau sous le velux. Et sa coule jusqu'au piano, incapable de jouer. Fuck.

Dimanche 16 mai 2010 à 11:27

Doushite nee ? Doushite nee ?
Kokoro ni kagi wo kaketa no ? ~




Tabun sore wa awai yume
Daremo inai rakuen de






Kimi ga itoshii kimi ga itoshii kara




Obiete iru... Furuete iru... Kowarete yuku...
KIMI ga kieru me wo tojiteku... Hana no you ni...

Samedi 1er mai 2010 à 4:12

Il y a des choses comme sa qui resteront toujours dans notre tête..



Je sais pas.
Ta gueule.



Tu avais sans doute raison.
Je ne crois pas que sa soit sa. Plus un mouvement qu'autre chose. Une course contre le sable, couler, couler.
Et tu sais. Seul le comportement change. Et l'experience amène de l'interieur
.





Et sa deviens tellement pitoyable. Tu sais, à te parler de la fenêtre, a prevoir des demains et à courir après les fils colorés et hurler dans le noir. Courir après les illusion. T'entendre tomber dans les marches et se serrer devant la porte. Espérer devant le train. Tomber dans les étoiles. Juste une amertume, un truc en pierre, un truc faux.



Comme tout. Ya rien de vrai, dis? Même toi putain. Même toi.
Et tu sais, quand les mots defilent devant mes yeux, quand ils tournent dans ma tête, en boucle. Quand il résonnent au fond, quand ils creusent et ils plantent. Quand ils sortent de là bas, je crois que sa fait le plus mal. De réaliser. Je crois aussi qu'il ne faut pas tomber en même temps, c'est beaucoup trop profond et tu es beaucoup trop loin, a couper ta corde avec tes dents et tes seringues. Peut-être qu'elles aussi sont irréelles, qui sait?




Peut-être que c'est juste notre imagination qui crée tout sa. Peut-être.


Ouais ouais je sais. Ma gueule.






Soit sa revit, soit sa explose, mais en laissant filer le temps, sa meurt tout doucement..
Ou alors, peut-etre que sa n'a jamais existé.







Un crapaud.
Et maintenant, tu dis "AAAAMEN".~ Fumée.

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